La semaine dernière a été particulièrement pitoyable pour Macron, rappelant la fuite à Varennes de Louis XVI, perdu dans son propre pays. Macron semble aujourd’hui tout aussi égaré, subissant les critiques sans mot dire. Si vous osez le contredire, vous êtes catalogué populiste, voire naz*, une méthode de gouvernance peu convaincante. On ne peut certes pas nier que Macron a été élu démocratiquement. Mais quand 95 % des médias le soutiennent et que ses amis milliardaires contrôlent l’essentiel de la presse, peut-on vraiment parler d’un choix libre et éclairé ? Les cabinets de conseil en manipulation mentale et la désinformation omniprésente n’ont fait qu’aggraver cette impression. Macron, soumis à l’Allemagne, aux puissances financières et aux communautaristes, se présente pourtant comme un président debout. Mais son manque de connexion avec les citoyens est flagrant. La question fondamentale demeure : le pouvoir politique, en France comme ailleurs en Europe, a-t-il encore une réelle emprise sur les événements ? L’Union européenne, sous la direction d’Ursula von der Leyen, semble dicter ses règles, marginalisant les volontés nationales. Les propositions de changement se heurtent à l’immuable réalité des traités européens, nécessitant l’accord unanime de 28 gouvernements et parlements. La fracture entre les élites et le peuple ne cesse de s’élargir. Depuis le rejet du traité européen en 2005, les citoyens se sentent trahis et déconnectés de leurs représentants. Pourtant, lors de la crise du C*vid, l’Europe a démontré une certaine efficacité, réussissant là où les États avaient échoué. Macron est accusé de livrer le pays aux intérêts privés, sous couvert de réformes censées améliorer la vie des Français. Mais derrière ces intentions proclamées, beaucoup voient une priorité donnée aux financiers. Les exemples ne manquent pas, de la vente d’Alstom à General Electric à la reconnaissance faciale votée à l’Assemblée nationale. En définitive, la vision d’Emmanuel Macron comme un roi moderne s’effrite, révélant une réalité bien plus complexe et désenchantée. Le rêve d’un renouveau politique se heurte à la dureté des faits, laissant place à une amère prise de conscience : le pouvoir, véritablement, est ailleurs. Tous les shorts ont été produits sur cette chaîne. Soutenir et participer : En cas de censure : --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- #jspc #asselineau #frexit #shorts #devilliers #bardella #rn #mlp #macron #lfi #ardisson
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