Ce sont des contenus accessibles en quelques clics sur ce qu’on appelle le “dark web”. Derrière chaque forum, des milliers d’utilisateurs aux quatre coins du monde échangent des vidéos pédopornographiques, triées en fonction du degré de violence et de l’âge. Dans certains pays, notamment en Asie, des vidéos à la demande sont même filmées puis monnayées. Depuis quelques années, de nouveaux types de contenus surgissent sur le dark web, en apparence plus anodins. Des clichés d’enfants volés sur les réseaux sociaux, comme ceux de cette petite fille de huit ans. Sa famille ne le sait pas, mais des dizaines d’images d’elle en vacances, à la plage, à la maison, circulent sur ces réseaux clandestins. “Sur les réseaux pédopornographiques, on trouve des images horribles de viols, d’agressions sexuelles d’enfants. Alors on peut se demander pourquoi est-ce que ces images totalement innocentes et anodines se retrouvent sur ces réseaux. Tout simplement parce que ces individus ont besoin d’avoir le sentiment que ces enfants sont proches d’eux. Peut-être que l’enfant, c’est sa voisine, peut-être que c’est l’enfant d’un ami à lui“, explique un policier français infiltré depuis dix ans dans ces réseaux pédocriminels 🔴 LCI EN DIRECT : L’actualité TF1 et LCI en continu avec TF1 INFO : ➡️ Téléchargez notre application gratuite pour suivre l’actualité :
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