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Dans ce contexte tendu, Jack Sullivan, conseiller de la Maison Blanche, se distingue par son approche belliciste. Identifié comme un néoconservateur intransigeant, Sullivan ne recule devant aucune provocation pour pousser à une confrontation accrue avec la Russie. Il accuse les forces russes de cibler les infrastructures civiles ukrainiennes, des accusations qui, selon Martin, manquent de preuves concrètes mais visent à durcir la position occidentale. Pendant ce temps, Antony Blinken, secrétaire d'État américain, s'est rendu à Kiev pour discuter des futures actions militaires avec le président Zelensky, dans le but de renforcer les positions ukrainiennes avant les prochaines élections présidentielles aux États-Unis. Cette dynamique suggère une volonté de rendre le conflit irréversible et de saboter toute possibilité de réconciliation future entre la Russie et l'Europe. Vladimir Poutine, de son côt
