Dans une critique acerbe et sans concession, des voix s'élèvent contre Emmanuel Macron et son gouvernement, les accusant de diriger la France avec une incompétence doublée d'une trahison délibérée. Ce n'est pas simplement une question de mauvaise gestion, mais une accusation bien plus grave : celle de perversion consciente des intérêts nationaux. Les griefs sont nombreux et variés. En tête de liste, la décomposition des grandes industries françaises, imputée à la volonté de Macron de maintenir la France dans le marché européen de l'électricité, malgré les conséquences désastreuses que cela implique. On y voit une trahison claire et assumée, une trahison qui coûte cher : 56 000 euros par personne en vingt ans, selon une étude allemande. Un coût exorbitant pour une monnaie, l'euro, que la France ne peut plus supporter face à des économies comme celle de l'Allemagne. Les normes sévères imposées aux producteurs français et européens ne sont pas appliquées aux produits importés, notamment de Chine, créant une distorsion de concurrence criante. La Chine inonde nos marchés de produits ne respectant aucune des réglementations en vigueur ici. La solution proposée ? Un retour au patriotisme économique, accordant la priorité aux entreprises françaises et européennes dans la commande publique, avec des accords commerciaux basés sur la réciprocité. Mais ce n'est pas tout. Emmanuel Macron est accusé de poursuivre un projet idéologique supranational visant à détruire délibérément le tissu économique français. Le but serait de contraindre les électeurs, traditionnellement réticents à la construction européenne, à accepter cette voie faute d'alternative viable. On l'accuse de ne pas quitter le marché européen de l'énergie pour affaiblir la France et la soumettre davantage à une Europe dominée par des intérêts globalistes. Les médias ne sont pas épargnés. Accusés de partialité pro-européenne, les journalistes français sont perçus comme des propagandistes plutôt que des informateurs. La solution envisagée est radicale : une récupération du pouvoir médiatique par le peuple pour garantir un véritable journalisme pluraliste. Sur le plan international, l'idée de partager la dissuasion nucléaire française avec l'Europe est vigoureusement rejetée. Une telle mesure affaiblirait la position de la France sur la scène mondiale et nuirait à sa souveraineté. Enfin, la critique touche à la trahison systématique des dirigeants français. Nicolas Sarkozy aurait trahi la droite classique, François Hollande la gauche classique, et Emmanuel Macron trahirait les deux. La réponse proposée est de redonner la parole au peuple par le biais de référendums et de respecter les décisions prises. Les politiques économiques actuelles sont également sous le feu des critiques. Le ruissellement des plus riches, la hausse des taxes prétendument indolore pour les classes moyennes, et une politique énergétique inflationniste sont dénoncés comme des échecs flagrants. À l'approche des élections, la question brûlante est de savoir quelles mesures drastiques seront annoncées après le 9 juin, une fois passée la période de complaisance électorale. En somme, le tableau dressé est celui d'un pays en proie à une crise profonde, dirigé par un gouvernement accusé de sacrifier les intérêts nationaux sur l'autel d'une idéologie européenne et mondiale, laissant les citoyens désabusés et trahis. Une situation qui appelle des réponses claires et des actions résolues pour redresser la barre. Tous les shorts ont été produits sur cette chaîne. Soutenir et participer : En cas de censure : --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- #jspc #asselineau #frexit #shorts #devilliers #bardella #rn #mlp #macron #lfi #ardisson
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