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Derniers jours d’Adolf HITLER. Adolf Hitler, un peintre remarquable, après avoir abandonné l’école secondaire à l’âge de 16 ans, Hitler (20 avril 1889 - 30 avril 1945) a passé ses dernières années à peindre et à visiter des musées. En 1905, il se rend pour la première fois à Vienne pour assister à l’opéra et étudier la musique de Richard Wagner, qu’il affectionne beaucoup. Mais au lieu de la musique, l’architecture civile a asservi Hitler, car il aimait les dessins d’architecture et y montrait un vif intérêt, de sorte qu’il dessinerait des bâtiments entiers s’il les voyait une talent de peintre, que ses professeurs ont remarqué dès l’enfance , était évident à Vienne. En 1907, Hitler postule à l’Académie des Arts de Vienne dirigée par un directeur juif, confiant d’être accepté. Mais le résultat a été le rejet, et le rejet est tombé comme un coup de foudre sur lui. L’Académie a précisé plus tard qu’elle le considérait comme un architecte talentueux et que ses peintures, qu’il a soumises, mettent en évidence son talent d’architecte et non de peintre. Bien que la réponse de l’Académie ait semblé convaincante, Hitler ne s’est pas lancé dans l’architecture comme le recommandait l’Académie. Rejeté de l’Académie des Arts, faute d’avoir étudié la musique de Wagner, Hitler s’est retrouvé dans un foyer sans abri, affamé, pauvre, misérable. Cela a continué ainsi pendant trois ans. Il mange les restes des restaurants, mendie sa subsistance quotidienne et ne trouve rien à manger. Après son retour de Vienne en 1913, sa mère décède avec un cancer du sein . À ce moment-là, Hitler n’avait littéralement rien. Il s’est porté volontaire dans l’armée allemande pendant la Première Guerre mondiale , après quoi il a commencé son parcours en tant que politicien. En 1914, Hitler est enrôlé dans la Première Guerre mondiale. Il emporte ses tableaux avec lui partout où il va et passe son temps libre à peindre. Même alors, toujours dominé par les vestiges de l’amour de l’artiste pour le dessin et la musique, il peint des croquis de paysages ruraux, mais il y a toujours un mépris délibéré pour les formes et les tailles des personnes. Après la fin de la guerre, Hitler resta dans l’armée et retourna à Munich En 1919, il fut nommé espion et fut sous le commandement du renseignement pour infiltrer le Parti ouvrier allemand. Au cours de son exploration du parti, Hitler a été influencé par les idées antisémites du fondateur du parti Anton Drexler. Malgré son histoire politique, Hitler a continué à se considérer comme un peintre jusqu’à la fin de sa vie. Il a même continué à faire des dessins à l’aquarelle alors qu’il était Führer (chef). Dans la période de juillet à novembre 1937, le parti nazi a organisé une exposition d’art en Allemagne et l’a appelée l’exposition d’art dégénéré. L’exposition, qui comprenait cent douze peintres, ne comprenait que six peintres juifs ! Plus d’un million de personnes ont visité l’exposition au cours des six premières semaines de son ouverture. Le but de l’exposition était, bien sûr, avant tout politique. Hitler, qui considérait les écoles d’art moderne (telles que le cubisme, le surréalisme, l’expressionnisme et Dada) comme des mouvements modernistes qui n’ont ni sens, ni valeur, ni philosophie, a blâmé les juifs et les bolcheviks et les a considérés comme responsables de l’émergence de ces arts. , et même ces écoles devraient être éliminées toutes. L’art « pur » est l’art nazi qui exprime une « race pure ». À cette époque, la tendance puritaine apparaît clairement au Führer, qui continue d’utiliser l’art comme un outil politique, oubliant complètement et contournant les rêves d’adolescents sur la musique et la peinture. La condition pour participer à l’exposition “Art libéré“ était que le peintre adhère aux normes classiques de la peinture. Que les œuvres ne doivent contenir aucune hostilité ou critique du nazisme ou de l’Allemagne ; Il ne devrait également contenir aucune des méthodes des écoles de dessin modernistes, profondément ancrées dans le sol depuis le début du XXe siècle. La question se pose, comment Hitler, qui aimait le dessin et la musique, s’est-il transformé en un meurtrier. Ce n’est pas l’inévitabilité historique que l’historien Sebastian Haffner a souligné : « Sans Hitler et le déplacement des Juifs, Israël n’aurait pas vu le jour. Si Hitler avait été accepté à l’Académie des Arts de Vienne, son acceptation n’aurait-elle pas changé la face de l’histoire ?!
