Stellantis ferme la porte à la production de la Peugeot 208 électrique en France, provoquant l’indignation du gouvernement. Le dirigeant de Stellantis, Carlos Tavares, estime que la production de ce type de véhicule en France n’est pas compétitive. Le gouvernement pousse pour la réindustrialisation et propose des aides de 5 000 euros, qui pourront bénéficier à la Renault 5 produite à Douai ainsi qu’à la future C3 produite en Slovaquie. Cette décision suscite le débat sur le patriotisme économique et la concurrence chinoise.
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