En cette 2ème partie, Yasmina KHADRA refuse l’idée galvaudée qui consiste à dire que le romancier serait atteint de mégalomanie, un délire caractérisé par la surestimation de soi. Il affirme cependant être « libre, souverain, n’étant assujetti à un aucun courant, à aucun clan. » … il ajoute « Je n’ai pas derrière moi un lobby sioniste, ni un réseau parisianiste… ». Il pense que « la Ligue des États Arabes est une rente pour bras cassés, que l’Algérie des années 2010 avait sombré dans des considérations roturières, que c'était un pays qui pouvait être un modèle à plusieurs titres. »
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