#GabrielAttal #remaniement #premierministre #France #lejournaldepersonne Le président qui s’était déjà autoproclamé homme providentiel vient de nommer l’ange Gabriel Attal : homme fatal… pour gouverner le pays le plus ingouvernable… qui n’a d’autre constante que des variables… Eh oui…On est toujours en quête de l’homme total, par delà le bien et le mal. Et là, mister president, c’est un choix radical, une idée plutôt qu’un idéal pour rendre la gouvernance un peu plus cruciale. Que demande le peuple ? De lui offrir sur un plateau celui qui ne demande pas mieux que de répondre à sa demande. Le plus compatible avec ses yeux clairs, c'est-à-dire le plus populaire de la liste, c'est-à-dire le plus populiste. Et même s’il n’a vécu que deux fois 17 ans, le jeune Gabriel a du mordant. Les plus gentils diront qu’il n’a que la science mais point la conscience… et les plus méchants rétorqueront que c’est la ruine de l’âme. Et avant même qu’il ait fait ses premiers pas, ils lui en voudront surtout pour son manque d’expérience. Mais c’est faire preuve de méconnaissance car rien que pour mettre du sucre dans son café, le jeune homme aura, devant et derrière lui toute une poignée de conseillers pour le dispenser même du fait d’y penser. Ce n’est donc pas l’expérience qui peut le rendre plus fort, mais son inexpérience…immature, il foncera dans le mur tête baissée…pour un premier sinistre, rien de plus banal… Dès lors pourquoi parler d’homme fatal ? Cela peut paraître paradoxal mais l’homme fatal est celui qu’on choisit parce qu’il est censé faire notre bonheur mais qui en fait nous porte ou nous apporte malheur. L’homme fatal est celui qui jouit ou se réjouit à chaque fois que tu as mal…ça lui fait du bien. A l’oral, Attal n’aura aucun mal à caresser la France dans le sens du poil, et lui dire tout ce qu’elle voudrait s’entendre dire : c'est-à-dire le pire. Parce qu’il n’aura pas peur d’avoir les mains sales quand il étreindra ou éteindra le destin de sa douce France. Et il fera tout pour obtenir son aval… Plaire, il sait le faire… et il le fera avec ou sans manière, sous l’uniforme, car avec lui désormais, tout ne sera pas certifié conforme. L’identité, la laïcité, l’étrangeté…il surfera comme jamais sur toutes ces vagues jusqu’à ce que chaque français de souche lui file son doigt pour qu’il enfile la bague. Il est fatal et il lui sera fatal.
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