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Immigration : Enoch Powell, le prophte diabolis

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Il y a 50 ans, le 20 avril 1968, pour la première fois un homme politique européen, le Britannique Enoch Powell, posait la question de l'immigration extra-européenne. Son discours prononcé à Birmingham, Rivers of blood (littéralement “Des fleuves de sang“), fait aujourd'hui figure de prophétie. Polémia Après Paris et Bruxelles, Londres a été la cible d’une attaque islamiste. L’attaquant et ses complices venaient de Birmingham, une grande cité du nord-ouest de l’Angleterre. Un haut lieu de la colonisation islamiste de l’Europe avec des cellules salafistes impliqués dans les attentats de Bruxelles et de Paris. Et, selon Fox news, des « no go zone » pour les non musulmans. Telford où plus de 1000 jeunes européennes furent violées par des gangs pakistanais se trouve à proximité immédiate de Birmingham. Birmingham une ville martyre de la colonisation de l’Europe. Une ville ou fut pourtant prononcé le premier discours dénonçant les dangers de l’immigration en Europe. C’était le 20 avril 1968. Le député conservateur Enoch Powell déclara : « La fonction suprême de l’homme d’état est de protéger la société de malheurs prévisibles. Il rencontre dans cette tâche des obstacles profondément ancrés dans la nature humaine. L’un d’entre eux est qu’il est d’évidence impossible de démontrer la réalité d’un péril avant qu’il ne survienne (…).Sur la lancée actuelle, dans 15 ou 20 ans, il y aura en Grande-Bretagne, en comptant les descendants, 3,5 millions d’immigrés du Commonwealth.(…) Il n’y a pas de prévision officielle semblable pour l’an 2000, mais le chiffre avoisinera les 5 à 7 millions, soit environ un dixième de la population, quasiment l’équivalent de l’agglomération londonienne (…) J’ai l’impression de regarder ce pays élever frénétiquement son propre bûcher funéraire(…) Dans de telles circonstances, la seule mesure adaptée est de réduire, toutes affaires cessantes, le rythme de l’immigration jusqu’à des chiffres négligeables, et de prendre sans délai les mesures législatives et administratives qui s’imposent. (…) Je contemple l’avenir et je suis rempli d’effroi. Comme les Romains, je vois confusément « le Tibre écumant de sang. » » Sa critique du multiculturalisme valut à Enoch Powell près de 100 000 lettres de soutien. Un sondage Gallup réalisé fin avril 1968 révéla que 74% de la population britannique était d’accord avec lui. Pourtant il fut destitué de son poste de ministre de la Défense dans le shadow cabinet conservateur. Et les médias le diabolisèrent. Enoch Powell était l’homme politique le plus brillant de sa génération. Formé au Trinity college de Cambridge c’était un helléniste réputé et un poète. Polyglotte, il fit une guerre brillante comme capitaine dans l’Intelligence service. Elu jeune député, il devint rapidement secrétaire au trésor et ministre de la santé. La route de Downing Street où réside le Premier ministre britannique lui était ouverte. Sa lucidité et son courage politique le perdirent. Après son lumineux discours de Birmingham sa carrière politique fut foudroyée. Honneur à Enoch Powell ! Honneur au diabolisé.

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