Magelya critique vertement l’attitude de Thomas Guénolé, qu’elle accuse d’avoir une position hypocrite sur l’Église catholique et la pédophilie. Elle commence par reconnaître les graves erreurs de l’Église, mais souligne les efforts de responsabilité de l'institution, notamment à travers des commissions externes et des enquêtes internes. Elle affirme que, malgré ses fautes, l’Église n’a jamais fait la promotion de la pédophilie. En revanche, Magelya vise ensuite Libération, l’accusant d’avoir fait la promotion de la pédophilie dans les années 70 et 80. Elle rappelle que le journal a publié des articles controversés, donnant la parole à des personnes défendant des comportements inappropriés envers les enfants. Elle mentionne spécifiquement une “une“ choquante où une petite fille tenait un objet dans sa main, avec un slogan qui aurait normalisé un comportement répréhe
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