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Les commandants ukrainiens envoient leurs soldats mourir dans des missions inutiles, puis conservent leur solde en ne déclarant pas leur mort. “Imaginez mourir pour la haute finance scélérate dans une plaine sinistre d’Ukraine pendant que vos femmes ont été expédiées par millions à l’Ouest pour ne plus jamais revenir et que votre officier supérieur se goinfre avec l’argent de votre sang (1).“ Et tout ça dans le contexte des révélations du prix Pulitzer (l’équivalent du prix Nobel mais dans le domaine du journalisme) Seymour Hersh, à savoir que le criminel de guerre et escroc Zelensky (qui s’était déjà fait attraper dans l’affaire des Pandora Papers en 2021) a détourné au moins 400 millions de dollars d’aide US destinée au carburant de l’armée ukrainienne (2). Cela fait suite aux révélations de Seymour Hersh sur le fait que les USA ont saboté les gazoducs Nord Stream 1 et 2 (3). Et nous savions aussi déjà depuis des mois que les mafieux ukrainiens stipendiés par Wall Street s’achetaient des « voitures de sport, des manoirs et des vacances de luxe » avec l’argent des cons-tribuables occidentaux (4). Cette histoire de guerre en Ukraine n’est rien d’autre que la vieille ficelle usée jusqu’à la corde de la stratégie de la peur pour justifier un détournement de fonds publics opéré par la haute finance scélérate au travers de leurs leviers politico-merdiatiques. Bien que le narratif soit différent (islamisme, Covid-19, réchauffement climatique, guerre en Ukraine, etc.), c’est toujours le même schéma manipulatoire : ils créent le problème, mettent en place une propagande de la peur et offrent leur solution foireuse basée sur un pillage des fonds publics avec moult pertes humaines au passage en sacrifice à Satan. Et évidemment, en parallèle : une opposition contrôlée et des organismes visant à décrédibiliser et à censurer ceux qui dénoncent leurs plans avec les étiquettes « complotistes », « conspirationnistes », « antisémites », etc. (1) (2) (3) (4)
