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Lors de son intervention aux Nations Unies à Genève, Kémi Séba a fermement dénoncé la France, l'accusant de perpétuer un néocolonialisme qui entrave encore la liberté des peuples afrodescendants. Il a appelé la communauté internationale à reconnaître ces pratiques et à agir pour mettre fin à la domination persistante sur les territoires encore colonisés, tels que la Kanaky, la Guyane, la Martinique, la Guadeloupe, et la Polynésie. Séba a rappelé que les descendants des pères fondateurs de la décolonisation poursuivront le combat jusqu'à l'indépendance totale et la liberté de tous les peuples colonisés. Ce discours marque un tournant historique dans la lutte anticolonialiste contemporaine.
