« Chaotique », c’est le mot utilisé dans toute la presse pour qualifier la conférence de la fédération internationale de boxe (IBA) auprès des journalistes pour tenter de justifier la disqualification de l’Algérienne Imane Khelif et de la Taïwanaise Lin Yu-ting aux Mondiaux-2023. Son président, Umar Kremlev, s’en est même directement pris au président du Comité international olympique (CIO). Une escalade de plus dans le conflit violent qui oppose les deux instances. Cela fait déjà au moins 15 ans que les premières querelles ont éclaté entre le CIO et la fédération international de boxe (IBA). Lors des Jeux olympiques de Pékin en 2008, de Londres en 2012, puis de Rio en 2016, les combats sont organisés par ce qui était appelé à l’époque l’Association internationale de boxe amateur (AIBA), ancien nom de l’IBA. Durant les trois éditions de ces Jeux, d’importants soupçons de corruptions concernant les arbitres émergent. Une enquête indépendante est ouverte à la fin des JO de Rio et l’intégralité des 36 juges et arbitres qui y ont officié sont suspendus. ----- Abonnez-vous à la chaîne YouTube du HuffPost dès maintenant : Pour plus de contenu du HuffPost: Web: Facebook: Twitter: Instagram: Pour recevoir gratuitement notre newsletter quotidienne:
Hide player controls
Hide resume playing