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#7Octobre #cérémonie #otages #france #hamas #israel #LFI #Hommage7Février #Gaza #Palestine Sans jouer avec les mots et sans manquer de respect ni d’à-propos, les hommages d’aujourd’hui ne me semblent pas couvrir tous les dommages d’hier… Des hommages…Qui peut les rendre ? Et à qui doit-il les rendre ? Nous sommes nombreux à ne pas comprendre cette histoire d’otages…J e songe aux para… chut ! Je n’ai le droit d’en parler qu’en aval, pas en amont sous peine d’être accusée de faire l’apologie du démon. C’est une ligne de démarcation toute tracée entre ceux qui entrent et ceux qui sortent de l’histoire. Les otages ? C’est la porte au fond du couloir où l’on vous apprend que noir c’est noir… que le désespoir des uns interdit tout espoir aux autres… et plus dure sera ta chute… si tu prononces ne fut-ce que le mot « lutte ». Je me dis : vas droit au but, dis ce que tu as à dire ! Par exemple qu’il n’y a pas que cent et quelques otages, il y en a bien davantage. Il n’y a pas que ceux du 7 octobre qui assombrissent le paysage, il y a ceux d’avant et ceux d’après le 7 octobre qui ne figurent pas à l’image. Si j’étais une fille, LFI, je n’annoncerais pas la couleur mais je dénoncerais la valeur de ceux qui n’ont aucun sens des valeurs… qui ne regardent que les leurs au lieu de regarder ailleurs… au cœur du pays des otages : la Palestine. Alors le roi ou le moi mage se demande aujourd’hui de quel otage il s’agit ?Celui qui a subi l’outrage ou celui qui subit le nettoyage ?
