Entretien avec Jean-Pierre Garnier à propos du “Grand-guignol de la gauche radicale“ Ces chroniques politiques à l’humour féroce et à l’ironie corrosive dénoncent la vacuité d’une gauche prétendument contestataire. L’enlisement de Podemos, l’échec de Nuit Debout, la grandiloquence des maîtres à penser de la contestation, ne sont-ils pas les symptômes dérisoires d’un mouvement progressiste qui a perdu ses repères ? Traiter du grotesque par le burlesque en déployant une analyse sociologique rigoureuse permet de remettre au cœur du débat les enjeux décisifs que sont la lutte des classes, le dépassement du capitalisme et la résistance à l’impérialisme. Facebook : Twitter :
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