Guest
Conférence de presse d'urgence japonaise : D'ici le début du mois d'octobre 2024, le Japon a le potentiel de « déclencher une catastrophe mondiale car des vaccins auto-amplifiants à ARNm sont administrés au public. » Ryuhei Kawada, membre du Parlement japonais Nous tenons cette conférence de presse parce que nous pensons qu'il faut mettre un terme à l'utilisation du vaccin antiréplicatif. C'est pourquoi nous avons décidé de tenir cette conférence de presse d'urgence. Cet agent immunitaire auto-reproducteur, qui doit commencer à être vacciné régulièrement à partir du 1er octobre, doit être arrêté, et je plaide vigoureusement en faveur de cette action. En outre, nous devons garantir une enquête et une vérification approfondies afin de soulager les victimes du vaccin ARNm qui ont subi un préjudice important. Cela doit se faire de manière systématique. Au lieu de simplement jeter les vaccins inutilisés, nous devrions faciliter la recherche en les remettant aux chercheurs pour qu'ils les analysent. J'ai l'intention de présenter ces demandes au Premier ministre et au ministère de la santé, du travail et de la protection sociale. Professeur Dr. Seiji Kojima de l'Université de Nagoya : Par rapport aux personnes non vaccinées, le taux de mortalité est cinq fois plus élevé en cas de double vaccination. L'objectif de la vaccination est en effet de réduire le taux de mortalité, mais ironiquement, ce taux est cinq fois plus élevé après avoir reçu le vaccin. Prof. Murukami de l'Université des sciences de Tokyo : « Le Japon prévoit un déploiement à grande échelle de vaccins auto-amplifiés, qui sont considérés comme des matières dangereuses... » « ...d'ici le début du mois prochain, le Japon a le potentiel de déclencher une catastrophe mondiale ». « Les vaccins ne semblent pas efficaces. Ils ne fonctionnent pas. Ils manquent d'efficacité. Les vaccins à ARNm ont fait de nombreux morts, blessés et victimes. » « Même si l'on sait qu'ils sont inefficaces, leur utilisation pourrait causer d'importants dommages à l'échelle internationale. Il y a aussi la possibilité d'une transmission de personne à personne. Il n'est absolument pas nécessaire de l'administrer. Il n'y a aucune nécessité. Par conséquent, le fait de savoir cela et d'administrer quand même le vaccin constitue, à mon avis, un crime. »
