Dans l’histoire, le lien entre impôts et pouvoir a toujours été essentiel, particulièrement à l’époque féodale où les taxes servaient à financer les armées des seigneurs, en échange d’une protection militaire. Ce système, bien que souvent jugé injuste, apportait une certaine stabilité aux paysans, formant ainsi les premières structures économiques basées sur une relation de dépendance. À mesure que les monarchies centralisées ont pris le dessus, notamment sous les Bourbons, l’impôt est devenu un outil de domination de l’État, reliant encore davantage les citoyens à leurs souverains. L’émergence des banques et le développement des échanges internationaux ont renforcé ce processus, comme en témoigne la création de la Banque de France en 1800, qui a permis à Napoléon de financer ses campagnes en s’appuyant sur des crédits publics. Les conflits modernes, quant à eux, ne se déroulent plus sur les champs de bataille classiques, mais sont souvent orchestrés dans l’ombre par des acteurs économiques utilisant des réseaux de finance criminelle. Ces réseaux exploitent des mécanismes sophistiqués pour détourner des fonds et financer des guerres, créant une apparence de légitimité tout en agissant dans l’opacité. Par exemple, le financement de la guerre en Syrie a mis en lumière l’implication de fonds transités par des paradis fiscaux. Aujourd’hui, des milliards de dollars circulent dans des systèmes financiers clandestins, soutenant des agendas cachés et économiques, sans que les véritables responsables ne soient jamais exposés publiquement. Dans cette nouvelle ère, chaque citoyen est appelé à jouer un rôle actif en tant que juge et protecteur de la société. Les formes modernes d’exploitation, telles que les dettes souveraines massives et les manipulations financières, maintiennent les peuples dans une dépendance invisible. Face à ces nouveaux types d’esclavage, il est crucial de repenser le rôle des institutions et de favoriser une vigilance collective. Des initiatives comme l’accord de transparence fiscale de l’OCDE en 2017 marquent des avancées dans la lutte contre la finance criminelle, mais une action plus concertée est encore nécessaire pour véritablement libérer les nations de ces chaînes modernes. On en débat avec Maitre Roland Sanviti, Charles Emmanuel de Bourbon Parme et Nicolas Stoquer sur GPTV. SOYEZ ACTEUR LES AMIS ! VOICI 2 CHOSES SIMPLES À FAIRE MAINTENANT : 👍 Mettez un pouce vers le haut c'est vital : un grand merci pour ce soutien inestimable ! 🔔 Saviez-vous que 45,2% d'entre vous ne sont toujours pas abonnés à cette chaîne YouTube ? Cliquez ici : ⬇▬▬▬▬▬⬇ REVUE CONFIDENTIELLE : 🔴 Recevez la nouvelle revue mensuelle directement dans votre boite aux lettres : ▬▬▬▬▬▬▬ ÉPARGNE ET PATRIMOINE : 👀 Moins de 3000€ d’épargne ? Récupérez gratuitement la Stratégie Anti CBDC : ☎️ Plus de 3000€ d'épargne ? Prenez rapidement rdv au téléphone pour débancariser votre argent avec profit : ▬▬▬▬▬▬▬ POUR NOUS SOUTENIR : 💗 Faire un DON pour nous aider dans le combat : on a besoin de vous ! ▬▬▬▬▬▬▬ LE SITE INTERNET : 🌍 Géopolitique Profonde : ▬▬▬▬▬▬▬ LES RÉSEAUX : Twitter : Instagram : Telegram : Discord : ▬▬▬▬▬▬▬ LES CHAPITRES DE LA VIDÉO : 00:00:00 Introduction 00:05:40 Organisations criminelles transnationales 00:11:02 Essor finance criminelle 00:15:41 Influence finance lobbying 00:20:28 Dette publique et impôts 00:25:21 Infiltration mafia économie 00:30:02 Pillage nations étrangères 00:35:14 Reconstitution État nation 00:39:41 Importance armée justice 00:44:56 Renforcement armée et justice 00:49:03 Religion loi civilisation 00:52:00 Conclusion Musique : Mozart - Lacrimosa (From the Requiem Mass in D Minor), Licence achetée à Leo Symphony Orchestra, Numéro de la piste : 424634 #finance #mafia #gptv
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