Rien ne valait ton sourire En ces jours qui parurent heureux Il m’était doux de souffrir Des malaises d’un cœur désireux Qui timide vers ton charme s’avança Puis s’élança dans la belle aventure Et de toi maints souvenirs amassa Pour panser à l’avenir ses déchirures Tu venais la nuit gaie et souriante Mes bras se tendaient pour t’enlacer Afin de saisir ton âme haletante Mais le vide toujours te remplaçait Ce n’était qu’un rêve qui m’exaltait Et hâtait mon extase enivrante Ma solitude souvent se présentait Et me dérobait ma joie inexistante Poème de Bachir ATTOURA
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