René Naba De 1969 à 1979, il est correspondant tournant au bureau régional de l’Agence France-Presse (AFP) à Beyrouth, où il a notamment couvert la guerre civile jordano-palestinienne, le « septembre noir » de 1970, la nationalisation des installations pétrolières d’Irak et de Libye (1972), une dizaine de coups d’État et de détournements d’avion, ainsi que la guerre du Liban (1975-1990), la 3e guerre israélo-arabe d'octobre 1973, les premières négociations de paix égypto-israéliennes de Mena House Le Caire (1979). De 1979 à 1989, il est responsable du monde arabo-musulman au service diplomatique de l'AFP[réf. nécessaire], puis conseiller du directeur général de RMC Moyen-Orient, chargé de l'information, de 1989 à 1995. En 1996, il fonde les Lumières de Paris, académie de correspondants de la presse étrangère à Paris pour la promotion de la production cinématographique française, qui s'est arrêtée en 2006. Depuis 2013, il est membre du groupe consultatif de l'Institut Scandinave des Droits de l'Homme (SIHR), dont le siège est à Genève et de l'Association d'amitié euro-arabe. Depuis 2014, il est consultant à l'Institut international pour la Paix, la Justice et les Droits de l'Homme (IIPJDH) dont le siège est à Genève Jacques-Marie Bourget, après avoir collaboré à la Nouvelle Revue française alors dirigée par Jean Paulhan, a travaillé comme grand reporter pour des titres comme L’Aurore, Le Canard enchaîné, L'Express, VSD, Paris Match, Bakchich... (après avoir débuté comme journaliste radio et télévision à l'ORTF). Il a ainsi couvert, entre autres événements, la guerre des Six Jours, la guerre du Viêt Nam, la guerre du Liban, la guerre au Salvador, la première et la seconde Intifada, la première guerre du Golfe, la guerre de l'ex-Yougoslavie. En 1985, il obtient le prix Scoop pour avoir révélé l’affaire Greenpeace. Blessé dans l'exercice de son métier Le 21 octobre 2000, à Ramallah en Cisjordanie, il est grièvement blessé par une balle de M16 tirée par un soldat de l'armée israélienne, alors qu'il réalisait un reportage en Palestine 3. Les autorités israéliennes interdisent d'abord son accès à l' hôpital de Jérusalem puis refusent son rapatriement vers la France. Le président de la République française, Jacques Chirac, intervient personnellement auprès du premier ministre israélien Ehud Barak. Après deux années de soins et de rééducation, Jacques-Marie Bourget commence un long combat judiciaire qui dura 18 ans. Il sera reconnu et indemnisé comme victime d'un acte violant le droit international humanitaire[source secondaire souhaitée].
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