“Forêts paisibles, Jamais un vain désir ne trouble ici nos cœurs. S’ils sont sensibles, Fortune, ce n’est pas au prix de tes faveurs. (Chœur des sauvages): [Forêt paisibles, Jamais un vain désir ne trouble ici nos cœurs. S’ils sont sensibles, Fortune, ce n’est pas au prix de tes faveurs.] Dans nos retraites, Grandeur, ne viens jamais offrir de tes faux attraits ! Ciel, tu les as faites pour l’innocence et pour la paix. Jouissons dans nos asiles, Jouissons des biens tranquilles ! Ah ! Peut-on être heureux, Quand on forme d’autres vœux ? » Les musiciens du Louvre Marc Minkowsky
Hide player controls
Hide resume playing