POLITIQUE - Élisabeth Borne et les 17 motions. L’Assemblée nationale examine une nouvelle motion de censure du gouvernement ce lundi 12 juin, l’occasion pour les opposants et le camp présidentiel d’échanger de nouvelles escarmouches sur la réforme des retraites et son parcours législatif. C’est la socialiste Valérie Rabault qui a porté le texte à la tribune avec un discours très offensif contre le gouvernement, le « discrédit » qu’il jette sur l’Assemblée nationale et la voie de « l’arbitraire » qu’il permet avec ses manœuvres sur la réforme. « Vous avez ouvert une voie dangereuse, celle de l’arbitraire, celle qui abîme l’état de droit que notre pays a courageusement construit au fil des ans, depuis la Révolution française. Oui, madame la Première ministre, il s’agit d’arbitraire », a notamment lancé la députée du Tarn-et-Garonne, critiquant, entre autres, la décision de la pré
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