La découverte des virus a marqué un tournant dans l’histoire de la biologie, mais leur étude a longtemps suscité controverses et incompréhensions. Dès le XIXe siècle, des chercheurs comme Martinus Willem Beijerinck ont identifié des agents plus petits que les bactéries capables de contaminer des organismes. Cette nouvelle discipline, appelée virologie, s’est développée grâce à des pionniers comme Friedrich August Johannes Loeffler, qui a isolé le virus de la fièvre aphteuse chez les bovins, et Félix d’Hérelle, découvreur des bactériophages, ces virus capables de détruire des bactéries. Leurs travaux ont alimenté une opposition idéologique entre Louis Pasteur, qui voyait les agents pathogènes comme cause principale des maladies, et Antoine Béchamp, qui insistait sur l’importance du terrain biologique. Cette confrontation se prolonge aujourd'hui, où la compréhension des virus va au-delà de la simple biologie pour devenir un enjeu politique et stratégique. Les virus à ARN, comme le VIH, diffèrent des virus à ADN par leur structure et leur manière de muter, ce qui influence non seulement leur propagation, mais aussi les stratégies médicales adoptées pour les contrôler. La manipulation de concepts scientifiques, comme la fameuse protéine Spike, illustre comment la science peut être instrumentalisée pour justifier des mesures sanitaires controversées. Le système immunitaire humain, véritable bouclier face aux infections, est également au cœur des débats. Des politiques discutables, comme le traitement à l’AZT durant la crise du SIDA, montrent comment certains choix médicaux ont servi d’intérêts économiques plutôt que de protéger les populations. Il est alors légitime de se demander si les stratégies sanitaires sont vraiment basées sur la science, ou servent-elles les intérêts de quelques acteurs influents ? Ce manque de transparence, couplé à une gestion opaque des crises, donne naissance à ce que l’on pourrait appeler une virologie politique, un outil de contrôle social basé sur la peur et l’incertitude. Les discours autour d’une société aseptisée, des pandémies à répétition et de la dégradation du système médical indiquent un enjeu bien plus profond : l’instauration d’un contrôle global par le biais de la santé publique. Philippe Bobola et Pierre-Antoine Plaquevent analyseront ces questions, sur la chaîne YouTube de GPTV. Ne manquez pas ce rendez-vous ! SOYEZ ACTEUR LES AMIS ! VOICI 2 CHOSES SIMPLES À FAIRE MAINTENANT : 👍 Mettez un pouce vers le haut c'est vital : un grand merci pour ce soutien inestimable ! 🔔 Saviez-vous que 45,2% d'entre vous ne sont toujours pas abonnés à cette chaîne YouTube ? Cliquez ici : ⬇▬▬▬▬▬⬇ REVUE CONFIDENTIELLE : 🔴 Recevez la nouvelle revue mensuelle directement dans votre boite aux lettres : ▬▬▬▬▬▬▬ ÉPARGNE ET PATRIMOINE : 👀 Moins de 3000€ d’épargne ? Récupérez gratuitement la Stratégie Anti CBDC : ☎️ Plus de 3000€ d'épargne ? Prenez rapidement rdv au téléphone pour débancariser votre argent avec profit : ▬▬▬▬▬▬▬ POUR NOUS SOUTENIR : 💗 Faire un DON pour nous aider dans le combat : on a besoin de vous ! ▬▬▬▬▬▬▬ LE SITE INTERNET : 🌍 Géopolitique Profonde : ▬▬▬▬▬▬▬ LES RÉSEAUX : Twitter : Instagram : Telegram : Discord : ▬▬▬▬▬▬▬ LES CHAPITRES DE LA VIDÉO : 00:00:00 Introduction 00:03:00 État Actuel des Virus 00:06:00 Nature des Virus 00:09:00 Évolution des Virus 00:12:00 Modes de Transmission 00:15:00 Interaction avec les Bactéries 00:18:00 Virologie et Implications Politiques 00:21:00 Importance de l'Immunité 00:24:00 Comparaison des Vaccins 00:27:00 Rôle de la Peur 00:30:00 Réflexions Finales 00:36:00 Risques de la Vaccination 00:39:00 Perspectives Historiques 00:42:00 La Réaction de la Société 00:45:00 La Nature et l'Homme 00:48:00 Équilibre Écologique 00:51:00 Conclusion Musique : Mozart - Lacrimosa (From the Requiem Mass in D Minor), Licence achetée à Leo Symphony Orchestra, Numéro de la piste : 424634 #virus #santé #gptv
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