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Deuxième épisode du grand bluff de NGE-Atosca🤥, soutenu par les Préfets du Tarn et d'Occitanie, sur le retard pris par le projet A69 ❗️ Le temps du #moratoire est venu ! Arrêtons ce fiasco alors que le recours en annulation de l'autorisation environnementale ne soit jugé dans les tous prochains mois. Dans cette vidéo, nous vous présentons une portion du tracé sur la commune de Cambounet-sur-le-Sor, vierge de travaux sur près de 2kms. Les haies, les arbres et les zones humides et les propriétés foncières sont intactes, et la biodiversité reste épargnée. LA ZAD de la Cal'arbre protège encore des chênes centenaires et une mare, avec son lot d’habitants non humains, si importants pour notre équilibre. Sur ce secteur, l’A69 devrait en théorie franchir la rivière Bernazobre, mais ATOSCA n’a toujours pas commencé cet ouvrage dont les travaux devaient démarrer en Octobre 2023. Ce secteur autour du Bernazobre est également symbolique en termes d’impacts sur les zones humides. Le projet est censé impacter ici 3,5 hectares et qui devraient être compensés. Jacques Thomas, spécialiste des zones humides, a largement remis en question la méthode d’évaluation de l’existant et les mesures envisagées pour tenter de compenser les destructions. A ce jour d’ailleurs, les services de l’Etat n’ont toujours pas reçu le plan de gestion de ce futur site n°2 de la part d’ATOSCA, ce qui est contraire à l’arrêté préfectorale qui demandait la fourniture de l’ensemble des plans de gestion des 25 site 6 mois après la notification de l’arrêté. La “compensation“ n'est peut être pas possible finalement ? Encore un des nombreux exemples qui illustre la méthode du passage en force. Martial Gerlinger (ATOSCA) a admis en commission d'enquête user de simplifications de communication sur les arbres (1 abattu, 5 replantés), il en est de même pour l’avancée des travaux et l'aspect écologique de ce projet. Nous ne sommes pas dupe. Ce projet anti social (péage à plus de 20€) et inutile (Trafic moyen de l'actuelle RN 126 de 6 à 8000véh/j) doit être stoppé, il est encore temps de préserver de nombreux espaces épargnés à ce jour. La suite dans l’épisode 3 à venir
