À l'approche des élections européennes de 2024, le débat sur l'avenir de la France au sein de l'Union européenne atteint un point critique. Georges Kuzmanovic, connu pour son approche tranchée et sa critique acerbe des structures actuelles de l'UE, propose une vision radicale qui dépasse même l'idée du Frexit. Pour lui, il ne s'agit pas seulement de quitter l'UE, mais de remettre en question son existence même, soulignant un échec à protéger les intérêts et la souveraineté des nations qui la composent. Le contexte actuel en France est marqué par une désillusion croissante vis-à-vis de l'Union européenne, perçue comme une entité qui dilue la souveraineté nationale et impose des politiques économiques et sociales souvent en désaccord avec les besoins réels du peuple français. La crise économique, les rigidités bureaucratiques et une certaine élite politique perçue comme déconnectée des réalités citoyennes alimentent un sentiment de frustration généralisé. Dans ce climat, les élections européennes de 2024 sont vues comme une occasion cruciale pour redéfinir la relation entre la France et l'UE. Kuzmanovic et d'autres souverainistes cherchent à capitaliser sur ce moment pour proposer un projet qui va au-delà du simple retrait de l'Union. Leur objectif est de reconstruire un modèle européen basé sur la coopération intergouvernementale plutôt que sur une intégration supranationale qui semble avoir échoué à respecter les diversités et les aspirations nationales. La mission de ces souverainistes est d'autant plus urgente que les médias traditionnels, souvent accusés de partialité, semblent ignorer ou minimiser les voix critiquant l'UE. Les figures comme Kuzmanovic affrontent donc un double défi : convaincre les électeurs tout en luttant contre un manque de visibilité médiatique. La possibilité d'une union des souverainistes reste complexe. Des partis comme l'UPR d'Asselineau ou Les Patriotes de Philippot ont chacun leur vision du souverainisme, oscillant entre la défense de l'identité nationale et la protection des acquis sociaux. Malgré leurs différences, ces mouvements partagent un objectif commun de reprise de contrôle par la France de ses lois et de son économie, souvent perçus comme étant sous la coupe de Bruxelles. Pour Kuzmanovic et ses alliés, les élections européennes de 2024 ne sont pas simplement une élection de plus ; elles représentent un referendum sur l'avenir de la France et, potentiellement, de l'Europe elle-même. Ils envisagent un parlement européen où les députés souverainistes pourraient remettre en question chaque directive et chaque règlement, non seulement pour protéger les intérêts français mais aussi pour inspirer d'autres nations à repenser leur engagement envers l'Union européenne. Ces élections promettent d'être un champ de bataille idéologique, où les questions de souveraineté, de démocratie et d'identité seront au cœur des débats. Pour Kuzmanovic et les souverainistes, il ne s'agit pas seulement de gagner des sièges, mais de redéfinir l'avenir politique et institutionnel de l'Europe. 👍 Mettez un pouce vers le haut les amis c'est vital faites le maintenant : un grand merci pour ce soutien inestimable ! 🔴 Recevez la nouvelle REVUE mensuelle directement dans votre boite aux lettres : 💗 Faire un DON pour nous aider dans le combat : on a besoin de vous ! 😢 Saviez-vous que 45,2% d'entre vous ne sont toujours pas abonnés à cette chaîne YouTube ? 👀 [Stratégie Anti CBDC] “Reprenez le Contrôle de Votre Épargne contre les Banques“ : ☎ Prenez RDV pour vos solutions patrimoniales avancées : 🌍 Le site internet Géopolitique Profonde : ▬▬▬▬▬▬▬ LES RÉSEAUX SOCIAUX ▬▬▬▬▬▬▬ Twitter : Discord : Telegram : Instagram : Whatsapp : ▬▬▬▬▬▬▬ LES CHAPITRES DE LA VIDÉO ▬▬▬▬▬▬▬ 00:00:00 Introduction Musique intro : _Mozart - Lacrimosa (From the Requiem Mass in D Minor), Licence achetée à Leo Symphony Orchestra, Numéro de la piste : 424634 _Cether - Requiem drill feat Mozart #france #election2024 #frexit
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