Les conclusions tirées par Amnesty International ont mis en colère une partie de l'opinion libanaise: après l’analyse de plus de 100 vidéos de manifestations filmées à Beyrouth en 2015 et en 2019, ainsi que la collecte de témoignages et de dossiers médicaux, l'ONG affirme que des grenades lacrymogènes, des balles en caoutchouc et des lance-grenades de fabrication française ont été utilisés par les forces de l’ordre du pays pour réprimer des manifestations. Ce que confirment ces activistes libanais sur le te
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