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En août 2024, les forces ukrainiennes franchissent la frontière russe et s’emparent de la région de Koursk. Cette opération éclair, planifiée avec un appui occidental manifeste, est immédiatement qualifiée d’acte terroriste par les autorités russes. Ce n’est pas une simple manœuvre militaire : c’est une opération psychologique, une guerre de communication où la violence contre les civils devient une arme stratégique. Dans cette zone frontalière, les infrastructures civiles sont prises pour cible. Écoles, hôpitaux, églises, lignes de transport et patrimoine local sont détruits méthodiquement. Les témoignages évoquent des massacres, des viols, des pillages et des déportations forcées. La logique est claire : semer la terreur, désorganiser la société locale, provoquer l’opinion publique et créer une onde de choc internationale. Le silence complice des grandes institutions et des médias occidentaux nourrit cette impunité. Les armes livrées par les États-Unis et leurs alliés ne tombent pas entre de mauvaises mains : elles remplissent exactement leur fonction. Face à cette réalité, la Russie mène une riposte militaire fulgurante et entame une vaste campagne judiciaire. Un tribunal international contre les crimes de guerre ukrainiens se profile, à l’image d’un Nuremberg du XXIe siècle. Les attaques ne s’arrêtent pas avec la libération de Koursk. Sabotages, attentats et pressions indirectes se poursuivent, dans l’ombre, pour empêcher toute stabilisation. Cette guerre ne se gagne plus sur le terrain, mais dans la perception, dans la sidération, dans la manipulation de l’opinion. Quand la frontière entre guerre militaire et guerre informationnelle s’efface, seule reste la mécanique froide d’un conflit sans limite. Découvrez exclusivement sur Géopolitique Profonde, le véritable visage de la guerre en Ukraine.
