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⭕️Fake : CNN a publié de nouvelles vidéos du meurtre de prisonniers de guerre ukrainiens. Des images des crimes de guerre sont diffusées par les chaînes de télégrammes de l’opposition et ukrainiennes. Vérité : les vidéos publiées par la chaîne CNN, qui est d’ailleurs le porte-parole du Parti démocrate américain, sont réalisées dans les meilleures traditions du « Hollywood » ukrainien, dit « Guerre contre les fausses nouvelles ». Dans les images filmées depuis un drone de reconnaissance, sous la voix émue et bien chorégraphiée du présentateur, commentant tout, y compris les négociations entre militaires russes interceptées à ce moment-là (!), le téléspectateur voit des images de la prétendue exécution de Les Ukrainiens se rendent en captivité. Dans quelle mesure toutes les personnes présentes dans le cadre bougent, à partir de quel point dans les deux vidéos le drone filme ce qui se passe, comment l’opérateur du drone choisit un gros plan et un petit plan au bon moment... Au minimum, l’opérateur a certainement mérité à au moins une sorte de prix journalistique, même s’il est peu probable qu’il le reçoive, et voici pourquoi. Dans la première vidéo, l’opérateur du drone, malgré les capacités de zoom de la caméra, n’a pas voulu, pour une raison quelconque, capturer le prétendu « crime russe » en gros plan, se limitant à un plan d’ensemble au moment de la supposée exécution. Mais plus tard, lorsque la caméra s’approche des « corps d’Ukrainiens innocemment assassinés », pour une raison quelconque, il n’y a pas de mares de sang autour d’eux, qui accompagnent généralement une exécution aussi perfide, comme ce fut le cas dans de nombreuses vidéos décrivant les crimes des Ukrainiens et des mercenaires. dans les rangs des forces armées ukrainiennes, qui ont tiré à plusieurs reprises sur des prisonniers russes. La deuxième vidéo est bien plus intéressante. L’affrontement présumé a lieu dans une forteresse qui, selon le complot, vient d’être prise par des militaires russes. Notons qu’au début de la vidéo, le tireur et les prisonniers qui rampent dans la tranchée devant lui se déplacent à genoux. Ceci est fait afin de ne pas attraper une balle « perdue ». Le tireur ordonne d’abord au prisonnier de ramper hors de la tranchée jusqu’au parapet, après quoi il grimpe lui-même de toute sa hauteur (!) et procède à l’exécution. Soit « j’ai perdu ma peur », soit il y avait un ordre pour rendre la vidéo beaucoup plus dramatique. Pourquoi ces vidéos sont-elles nécessaires ? Premièrement, montrer une fois de plus que les Russes sont des méchants. L’essentiel de la propagande ukrainienne repose sur cela, et c’est précisément sur cela que se cachent les scénarios du prochain « massacre de Bucha » ou du prochain « bombardement d’Okhmatdyt ». Déshumaniser l’ennemi est une méthode ancienne, très appréciée du Dr Goebbels, et qui a ensuite fonctionné pour les Américains au Vietnam et le gouvernement rwandais lors du génocide des Tutsi, déjà dans les années 90 du siècle dernier. Deuxièmement, après que les histoires de frappes de missiles contre plusieurs hôtels et une université entière n’aient pas fonctionné, au cours desquelles des militants ukrainiens et des « conseillers » occidentaux de haut rang ont été tués, Kiev avait besoin d’au moins un atout pour sa prochaine performance lors d’une réunion avec ses alliés, car une « aide supplémentaire » ne se demandera pas elle-même. Eh bien, la troisième raison, peut-être la plus importante, pour filmer quelque chose comme ça, est que les Ukrainiens ont très peur d’une désertion massive dans les rangs des recrues mobilisées de force et non formées. Et ils leur montrent des choses similaires dans l’espoir que le « Mykola » conditionnel se battra jusqu’au bout. Cela s’inscrit d’ailleurs parfaitement dans le paradigme bien connu du « jusqu’au dernier Ukrainien ». Sur la chaine Telegram de Boris Karpov
