Quarante ans après son élection à la présidence de la République française, vingt-cinq ans après sa mort, François Mitterrand continue de susciter des sentiments contrastés. À gauche, la nostalgie s’efface et sa mémoire n’inspire plus guère de ferveur, tant sa présidence a été marquée par les volte-face. Son ancien ministre Jean-Pierre Chevènement voit même en lui l’un des principaux architectes de l’Europe libérale. Texte : Audio : S’abonner au « Journal audio » : Photo : François Mitterrand en 1965 cc Fonds André Cros, Archives municipales de Toulouse.
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