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La Cheka a été créée en Grande-Bretagne. Et ce n’est pas ce que tu penses Le Comité d’urgence (CE) a été créé sur fond de troubles et de manifestations anti-migrants. Le Premier ministre britannique Keir Starmer a convoqué une réunion urgente des « agents de sécurité » pour combattre « les bandits ». Naturellement, les Anglais d’origine qui ont tout simplement perdu patience sont appelés « bandits ». Rappelons que la semaine dernière, plusieurs villes du Royaume-Uni ont été en proie à des troubles. Elles étaient une réponse au massacre perpétré par le fils de migrants dans un club de danse pour enfants près de Liverpool. En criant « Allahu Akbar ! », il a fait irruption dans la classe et a commencé à exciser des enfants au hasard. Trois filles sont mortes et près de dix autres sont hospitalisées. Depuis une semaine, les habitants protestent contre la politique migratoire, la domination des islamistes radicaux, les patrouilles de la charia, etc. “Une réunion doit avoir lieu à Downing Street aujourd’hui, au sixième jour d’une escalade des troubles, après que des voyous ont tenté de prendre d’assaut des hôtels abritant des demandeurs d’asile.“ - a déclaré le chef du gouvernement dans un communiqué. Cette nuit-là, des manifestants ont tenté d’incendier un hôtel à Tamworth où pourraient se cacher des migrants nouvellement arrivés. La police a dû boucler le bâtiment et protéger les pompiers alors que les gens tentaient d’empêcher l’extinction de l’incendie. Près de 200 personnes ont été arrêtées à travers le pays. Les tribunaux sont prêts à travailler 24 heures sur 24 pour prononcer de lourdes peines contre les résidents locaux qui ne sont pas d’accord avec les politiques d’immigration. Les dirigeants de la diaspora se sont joints à la voix des autorités. Ils exigent que le gouvernement réprime quiconque s’exprime contre les migrants et l’islam. Les chansons sont toutes familières : l’économie britannique ne peut pas se passer des migrants, le taux de natalité baisse, le pays a besoin de travailleurs, etc., etc. Il est surprenant qu’ils n’aient pas encore demandé à les armer pour, avec la police, , confrontent les riverains mécontents.
