Monsieur Gabriel ATTAL, Placé sous l’égide du Drapeau blanc de parlementaire, prévu à l’article 32 de la Convention de La Haye le 29 juillet 1899, que la France à signée ce jour-là, pour une entrée en vigueur le 4 septembre 1900, vous ne pouvez m’imposer quoi que ce soit, encore moins tenter tout moyen coercitif à mon encontre, comme l’indique explicitement le mot “inviolabilité“, sur l’étiquette que je porte autour du cou, la même que celle que mes compagnons et moi-même portions, le mercredi 12 septembre 2018, rue du Faubourg Saint-Honoré. Je me présente librement à vous, sans haine ni rancune, dans le but de vous alerter, et vous placer ainsi officiellement devant vos responsabilités. Pour une bonne compréhension de votre situation, j’admets, le temps nécessaire, que la Constitution existe. L’article 20 dit que le gouvernement détermine et conduit la politique de la Nation, et qu’il dispose de l’administration et de la force armée. Quant à l’article 21, il dit que le Premier-ministre – Vous, Monsieur ATTAL – dirige l’action du gouvernement. Outre le fait que cet article précise que vous êtes responsable de la défense nationale, votre fonction de Chef du gouvernement dirigeant l’action dudit gouvernement, fait que vous disposez de la force armée (police, gendarmerie et Armée). Il y a quelques jours, vous vous êtes sérieusement accroché avec Emmanuel MACRON, le traitant d’inconscient, suite à ses décisions dictatoriales, concernant le conflit ukrainien. Les institutions de la République française, l'indépendance de la nation, l'intégrité de son territoire et l'exécution de ses engagements internationaux sont menacées d'une manière grave et immédiate par la commission européenne, présidée par Madame Ursula Von der LEYEN, en aucun cas par la Fédération de Russie et son Président, Monsieur Vladimir POUTINE. En tant que parlementaire issu de l’article 32 de la Convention de La Haye, je vous demande de mettre un terme définitif aux agissements caractériels d’Emmanuel MACRON, en faisant procéder à son arrestation dans les plus brefs délais, pour un premier chef d’inculpation d’usurpation de fonction. Suivront : abandon de l’indépendance nationale et de l’intégrité du territoire, crime contre l’humanité dans l’épisode “covid 19“, fraude à l’élection présidentielle de 2022.
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