Dans la première partie du Canon de la Messe codifiée par saint Pie V – le Te igitur –, le nom du Pape régnant est mentionné par le prêtre à l’autel, excepté bien-sûr en période de vacance du Siège apostolique. Il s’agit d’une prière qui demande à Notre-Seigneur Jésus-Christ d’agréer les offrandes, le Sacrifice de la Messe, afin qu’Il gouverne l’Eglise par toute la terre, qu’Il la gouverne unie avec (una cum) le Pape, les Evêques et tous ceux qui professent la Foi catholique orthodoxe. Cette prière signifie donc que le Pape régnant fait l’unité de l’Eglise en tant qu’instrument de Jésus-Christ qui gouverne l’Eglise. Mais puisque les occupants du prétendu “saint siège”, depuis Jean XXIII, enseignent objectivement l’erreur et l’hérésie, ils ne peuvent pas avoir le charisme de l’infaillibilité pontificale (dogme de Vatican I) qui les unit au Christ dans le gouvernement de l’Eglise ; donc ils ne peuvent être ceux qui font l’unité de l’Eglise.
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