Travail de routine, presque « pépère » ici, différent de celui sur un makiwara, c’est plaisant de sentir la « pêche »… (Frappe dans un sac, sur un makiwara classique, sur quelque matériau dur, sur un punching-ball − sans gants −, le principal c’est d’en ressentir et l’envie et l’utilité. Voire le besoin, à terme. Orientation karaté, on l’a compris, et non boxe.) Il faut croire aux bienfaits y afférents. Personnellement c’est comme une seconde nature. Je vise tout aussi bien le travail du souffle.
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