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Un an après les premiers appels à la destitution d'Emmanuel Macron, le mouvement a perdu de sa vigueur sans disparaître totalement. Les obstacles constitutionnels et le manque de soutien parlementaire ont ralenti cette initiative. En effet, l'article 68 de la Constitution française, qui encadre strictement la destitution du président, impose des conditions sévères, réservant cette procédure aux cas de manquements graves aux devoirs présidentiels. Cette définition vague complique toute tentative basée sur des différends politiques ou économiques. En pratique, l’article 68 stipule que la destitution ne peut être envisagée que dans des circonstances extrêmes, rendant cette démarche presque impossible sans un large consensus au Parlement, où une majorité des deux tiers est requise. Cet obstacle, combiné au climat politique actuel, explique pourquoi ces tentatives, bien qu'elles aient attir&#
