Une bonne chanson de Brassens qui donne à réfléchir sur la notoriété, la vie privée et la vie publique... Chanson posthume ici chantée par Maxime Le Forestier. Tous les Brummel, les dandys, les gandins, Il les considérait avec dédain Faisant peu cas de l'élégance il s'ha- Billait toujours au décrochez-moi-ça. Au combat, pour s'en servir de liquette, Sous un déluge d'obus, de roquettes, Il conquit un oriflamme teuton. Cet acte lui valut le grand cordon. Mais il perdit le privilège de S'aller vêtir à la six-quatre-deux, Car ça la fout mal saperlipopette D'avoir des faux plis, des trous à ses bas, De mettre un ruban sur la salopette. La légion d'honneur ça pardonne pas. L'âme du bon feu maistre Jehan Cotart Se réincarnait chez ce vieux fêtard. Tenter de l'empêcher de boire un pot C'ét
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