« Il a ressenti une vive douleur, comme s'il avait un caillou au niveau des côtes », raconte Rémy Alonso, secrétaire départemental du syndicat de policiers Alliance dans le Gard. Dans la nuit du vendredi 30 juin au samedi 1er juillet, un policier de la brigade anticriminalité (BAC) de Nîmes essuie, sans le savoir, un tir à balle réelle. Le fonctionnaire intervient dans le quartier prioritaire de Pissevin-Valdegour, à Nîmes, à proximité du bâtiment de la direction départementale des territoires et de la mer, dont des émeutiers ont incendié et détruit le rez-de-chaussée. Retrouvez-nous sur : - Youtube : - Facebook : - Twitter : - Instagram : - Tik Tok :
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